- sam. août 16, 2008 3:52 pm
#117888
Je m'aperçois en parcourant les forums qu'il y a souvent, en plus des souffrances physiques, des souffrances morales, notamment chez les ados.
Je me dis qu'une réflexion philosophique pourrai peut être en aider certain.
Et la je parle de philosophie au quotidien, celle qu'y peut rendre notre façon de penser et de vivre plus agréable.
Le but c'est d'avoir sa propre réflexion, plutôt que d'associer mécaniquement à un problème des règles, des morales et des préceptes appris depuis la naissance et donc considérés comme normales.
C'est à la portée de tout le monde et c'est moins cher qu'un Psy.
Il serait intéressant que ceux qui le veulent expliquent quel est leur philosophie pour mieux vivre leur scoliose.
Bon, aller, je lance le premier sujet.
Le regard des autres et la souffrance morale
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Pourquoi vouloir attribuer aux autres des pensées et un regard sur nous qu'il n'ont peut être pas ?
Voici un exemple concret qui pourrait aussi bien s'appliquer sur l'impression que l'on aurai d'une personne que l'on croise alors que l'on porte un corset ou que l'on est en maillot avec ses cicatrices.
Ma femme rentre du jardin et me dit:
Le voisin est en train de tailler ses haies, j'ai voulu lui dire bonjour mais il ne même pas regardé.
La, il y a 2 façon de raisonner. Celle de ma femme qui pense que le voisin la vue ou entendu et qu'il la volontairement ignoré et la mienne qui pense qu'il était concentré sur la taille de sa haie et qu'il n'a pas remarqué sa présence.
Dans le premier cas ma femme va se pourrir l'esprit en pensant que le voisin lui en veut.
Dans le second cas moi je n'y pense déjà plus.
La souffrance physique est inévitable, la souffrance morale est optionnelle.
Si à la piscine on me marche sur le pied, ça me fait mal, c'est inévitable.
La même personne me dit « t'es moche, avec ton dos droit on dirait un porte manteau »
Si j'accepte sa réflexion je vais souffrir moralement et y pensé en boucle.
Mais contrairement à la souffrance physique, rien ne m'oblige à avoir une souffrance morale.
Pour cela il suffit que je refuse sa réflexion. Concrètement j'ignore cette personne et ce qu'elle me dit.
Je me dis qu'une réflexion philosophique pourrai peut être en aider certain.
Et la je parle de philosophie au quotidien, celle qu'y peut rendre notre façon de penser et de vivre plus agréable.
Le but c'est d'avoir sa propre réflexion, plutôt que d'associer mécaniquement à un problème des règles, des morales et des préceptes appris depuis la naissance et donc considérés comme normales.
C'est à la portée de tout le monde et c'est moins cher qu'un Psy.
Il serait intéressant que ceux qui le veulent expliquent quel est leur philosophie pour mieux vivre leur scoliose.
Bon, aller, je lance le premier sujet.
Le regard des autres et la souffrance morale
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Pourquoi vouloir attribuer aux autres des pensées et un regard sur nous qu'il n'ont peut être pas ?
Voici un exemple concret qui pourrait aussi bien s'appliquer sur l'impression que l'on aurai d'une personne que l'on croise alors que l'on porte un corset ou que l'on est en maillot avec ses cicatrices.
Ma femme rentre du jardin et me dit:
Le voisin est en train de tailler ses haies, j'ai voulu lui dire bonjour mais il ne même pas regardé.
La, il y a 2 façon de raisonner. Celle de ma femme qui pense que le voisin la vue ou entendu et qu'il la volontairement ignoré et la mienne qui pense qu'il était concentré sur la taille de sa haie et qu'il n'a pas remarqué sa présence.
Dans le premier cas ma femme va se pourrir l'esprit en pensant que le voisin lui en veut.
Dans le second cas moi je n'y pense déjà plus.
La souffrance physique est inévitable, la souffrance morale est optionnelle.
Si à la piscine on me marche sur le pied, ça me fait mal, c'est inévitable.
La même personne me dit « t'es moche, avec ton dos droit on dirait un porte manteau »
Si j'accepte sa réflexion je vais souffrir moralement et y pensé en boucle.
Mais contrairement à la souffrance physique, rien ne m'oblige à avoir une souffrance morale.
Pour cela il suffit que je refuse sa réflexion. Concrètement j'ignore cette personne et ce qu'elle me dit.