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Un espace d'échanges pour ne plus être seul avec sa scoliose

Par marie-hélène
#296635
Bonjour,

Je suis de retour d'abord voici des news de moi:

Mon travail se passe bien je travaille dans un lycée comme secrétaire administrative depuis Septembre 2016.
C'est un contrat à temps partiel 80%, je ne travaille pas le mercredi, ce qui me permet de me reposer et pour tout vous dire je ne fais rien du tout ce jour là. Les week end non plus
Il n'y a que pendant les vacances que j'essaie de sortir

Ça n'a pas empêché que j'ai été 3 fois en arrêt maladie cette année: 1 semaine d'arrêt à chaque fois.
-du 09/12 au 13/12/2016
-du 13/06 au 16/06/2017
-du 23/06 au 30/06/2017

Trop de douleurs violentes musculaires/ niveau vertèbres libres L5/S1. Et aussi surtout des douleurs violentes dans le cou du à discarthrose pluriétagée à l'étage cervical. Ces douleurs me bloquent le cou, et les trapèzes, me donnent mal à la tête à en vomir, heureusement que je n'ai pas de perte de connaissance. Quand c'est comme ça je ne supporte plus du tout d'être assise, même dans mon fauteuil roulant électrique qui est vraiment très confortable avec dossier inclinable, assise rembourrée.

J'en ai parlé à mon médecin c'est du à la fatigue ou stress. Oui mais voilà la liste des médocs que je prends commence à devenir longue
Ca dépend de l'intensité de la douleur:
-douleurs faibles à modérées: (espace modéré)
-douleurs modérées à fortes: (espace modéré)
-douleur fortes à violentes: (espace modéré)/les médicaments ci-dessus
Et bien sûr se reposer, s'allonger, dormir
L'A...(espace modéré) c'est depuis mon 2ième arrêt maladie que j'en prends

j'en viens donc à la question de mon poste: est ce que les personnes qui ont été opérées perdent leur souplesse? Si oui, partiellement ou totalement?
Je demande ça parce que dans mon quotidien je remarque que plus le temps passe plus je deviens rouillée
La première fois qu'on m'a diagnostiqué l'arthrose cervicale j'avais 25 ans ça m'est tombée dessus comme une enclume sur la tête
Je n'avais même commencé ma vie que déjà je tombais dans la spirale des médocs et le ménagement de mon corps.
J'ai 30 ans je me sens vieille dans mon corps, je me sens usée alors qu'à mon âge faut faire sa vie, bouger, sortir....
Mais quand je regarde les années passées je me rends compte que je n'ai jamais vraiment eu la possibilité de vivre ma à fond, possibilité physique je parle. Toujours le frein de la maladie: pas accessible; pas d'argent pour adapter; pas la capacité physique.....

Bon allez stop j'arrête là le mélodrama, je ne suis pas là pour faire pleurer dans les chaumières :-)

Merci pour vos réponses

Marie-Hélène

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