- mer. janv. 07, 2009 1:08 pm
#132075
Cette fois, je sais que je suis en plein dedans.
Ca s'est fait très progressivement mais la je n'arrive plus à me battre. J'ai honte d'être dans cette état la mais je n'y peux rien. Il n'y a pas que la souffrance physique mais des blessures qui ressurgissent. Je n'arrive plus à me contrôler et pleure même devant les gens.
Alors je me renferme le plus possible chez moi. Il faut que je retourne voir l'endocrinologue, le pneumologue, le dentiste pour qu'il m'arrache une dent et je n'y arrive plus. J'ai honte d'écrire ça lorsque je vois tout ce que vous subissez comme examens avant d'être opérés.
Je fais tout au ralenti et tout me semble difficile. C'est ça la dépression? On m'a supprimé mon AHH parce que le pneumologue a refusé de me faire les gaz du sang et que je ne suis plus dans les temps. Assistantes sociales, la FNATH, j'ai tout essayé sans résultat mais la je baisse les bras.
J'ai du mal à me reconnaitre. Ou est passé l'autre moi qu'on disait battante. J'ai peut-être trop tiré sur la corde. Trop de problèmes se sont accumulés et à chaque fois j'arrivais à les
. 6 ans de bataille contre mon ex-employeur la Croix Rouge Française qui m'avait refusé un emploi adapté lorsque que je me suis séparée et que je ne pouvais plus m'occuper de ce petit garçon au comportement difficile. Apparemment, j'ai gagné pas la somme prévu mais j'ai gagné. C'est ça le plus important. Mais que d'énergie perdue, que de fatigue!. Ca en valait-il la peine?
Ce que je voulais surtout c'est de la reconnaissance du (travail) que j'avais fais auprès de cet enfant. Mais je crois que plus on en fait moins on est considerée. Et pas que dans le monde du travail. Je n'ai plus confiance en moi et surtout j'ai perdu ma joie de vivre, ma concentration, mon sommeil. je me croyais plus forte que ça. Si vous aussi vous avez connu ce mal-être, merci de me dire comment je peux m'en sortir.
Ca s'est fait très progressivement mais la je n'arrive plus à me battre. J'ai honte d'être dans cette état la mais je n'y peux rien. Il n'y a pas que la souffrance physique mais des blessures qui ressurgissent. Je n'arrive plus à me contrôler et pleure même devant les gens.
Alors je me renferme le plus possible chez moi. Il faut que je retourne voir l'endocrinologue, le pneumologue, le dentiste pour qu'il m'arrache une dent et je n'y arrive plus. J'ai honte d'écrire ça lorsque je vois tout ce que vous subissez comme examens avant d'être opérés.
Je fais tout au ralenti et tout me semble difficile. C'est ça la dépression? On m'a supprimé mon AHH parce que le pneumologue a refusé de me faire les gaz du sang et que je ne suis plus dans les temps. Assistantes sociales, la FNATH, j'ai tout essayé sans résultat mais la je baisse les bras.
J'ai du mal à me reconnaitre. Ou est passé l'autre moi qu'on disait battante. J'ai peut-être trop tiré sur la corde. Trop de problèmes se sont accumulés et à chaque fois j'arrivais à les

Ce que je voulais surtout c'est de la reconnaissance du (travail) que j'avais fais auprès de cet enfant. Mais je crois que plus on en fait moins on est considerée. Et pas que dans le monde du travail. Je n'ai plus confiance en moi et surtout j'ai perdu ma joie de vivre, ma concentration, mon sommeil. je me croyais plus forte que ça. Si vous aussi vous avez connu ce mal-être, merci de me dire comment je peux m'en sortir.
