- mer. juin 20, 2012 6:57 pm
#236009
Bonsoir ou bonjour, je m'appelle Elsa, j'aurais bientôt 15 ans et je suis dans ma dernière semaine de collège (brevet bientôt ♥).
J'ai consulté quelques unes de vos histoires, et j'ai donc décidé de me créer un compte et de raconter la mienne. Je suis désolée si c'est un peu long et trop détaillé, mais je crois que c'est la première fois que je raconte cette histoire en entier avec tous mes ressentis donc je voulais faire ça bien. J'ai présenté ça un peu comme un roman et j'ai mis beaucoup de temps à rédiger, donc j’espère que malgré la longueur ça restera assez agréable à lire.
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Voici un petit résumé de ma situation, pour ne pas lire inutilement mon histoire pour ceux qui chercheraient des réponses précises.
-Scoliose double majeure 47° en bas et 57° en haut dépistée depuis quelques mois.
-Port d'un plâtre pendant trois mois
-Actuellement en corset, a porter pendant encore 3ans
-Opération à venir si situation stagne ou qu'elle empire.
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Tout à commencé pour ma part l'été dernier quand j'ai commencé à avoir des douleurs atroces au dos qui m'empêchaient de dormir. Au début, je me disais que c'était rien et que ça aller passer.
Mais mon mal continuait et c'est seulement aux vacances d'Halloween que j'en ai parlé à ma mère. Elle m'a donc demandé de me pencher vers l'avant et m'a inspecté le dos, et c'est là qu'elle m'a dit que j'avais sûrement une scoliose et qu'il fallait prendre un rendez-vous chez le kinésithérapeute. Oui, au début on ne s'inquiétait pas trop, parce-que ma grande sœur avait eu une petite déviation qui s'était réglée en quelques séances. On est allées voir le médecin, qui nous a dit que vu la gravité de la situation, ce n'était pas à lui qu'il fallait s'adresser et il nous a dirigé vers des spécialistes de la scoliose.
Jusque là, je ne me rendais pas compte de ce qui allait m'arriver, j'ai un peu honte mais ça me plaisait qu'on s'occupe de moi, qu'on s'inquiète un peu. J'étais toujours dans la phase "ça n'arrive qu'aux autres, j'ai rien du tout, on s'inquiète pour rien".
Et bim. C'est tombé j'avais une double majeure comme ils m'ont dit, avec 47 en bas 57 degrés en haut. Etant asthmatique, j’avais déjà des problèmes de respiration mais la scoliose empirait les choses et appuyait sur mes poumons et mon cœur. On m'a dit qu'on allait devoir m'opérer, mais qu'on ne pouvait pas tout de suite et que j'allais d'abord devoir porter un plâtre. Sur le coup, j'ai franchement cru qu'on se fichait de moi et que c'était pour rigoler, pour moi le plâtre c'était ce qu'on porte un ou deux mois à la jambe ou au bras suite à une mauvaise chute, mais pas au corps bon dieu!
Mais non, c'était bien réel, deux mois plus tard je suis allée à l'hôpital pendant 2 jours, j'ai passé la nuit là haut. On m'a mise dès 9h dans une espèce de machine de torture dans une position vraiment des plus tordues (Et le mot va bien dans notre contexte!) et on m'a posé des bandes de plâtres partout. Je me souviens encore de la sensation, celle quand le plâtre sèche sur toi. Sur le coup je m'étais dit que je n'allais jamais m'y habituer et je me sentais commr étouffée, je n'arrivais plus à respirer. Le temps m'a paru long, très long. Mais je ne suis pas vraiment du genre à me plaindre et j’essayais de garder une humeur positive et de lancer des sourires pour ne pas inquiéter les médecins. A la fin ont m'a dit que c'était la première fois qu'ils voyaient quelqu'un qui ne se plaignait pas. On m'a souvent dit par la suite que j’étais courageuse, mais je ne le suis pas, c'est juste que je n'ai pas le choix.
Vers 13h30 je suis allée manger avec les autres enfants.
Quand tu entres dans la cantine, tu te dis vraiment que tu n'as vraiment pas le droit de te plaindre de ton sort. J'ai vu des gens vraiment malades, et je me suis dit que j'avais encore beaucoup de chance. C'est dur parce-que quand on voit ça on a l'impression qu'on a pas le droit d'avoir mal, encore moins devant eux. Et pourtant, je souffrais, et je pense que certaines qui ont connu le plâtre doivent me comprendre, les premières 24h sont insupportables. Mais j'y viens, le pire était la première nuit passée à l'hôpital. C'est là ou j'ai craqué. C'était impossible de dormir. J'ai beaucoup pleuré, j'avais hâte de rentrer chez moi.
Le lendemain j'ai encore passé le matin pour qu'ils fassent les finissions du plâtre. Je suis sortie un peu de l'hôpital déprimée, je l'avoue.
Et puis, après j'ai finit par m'y habituer, le plâtre sèche et j'ai commencé à marcher normalement, j'ai compris les limites de "mon nouveau corps" : c’est-à-dire, impossible de se baisser pour ramasser un stylo ou faire ses lacets. Donc il faut plier les genoux! Tout un sport.
Vous allez rire, mais j'ai dû élaborer une technique pour m'essuyer les fesses et j'ai passé au moins 5 bonnes minutes dans les toilettes pour trouver le bon angle les premières fois!
Sans oublier que le corset appuie sur la vessie, donc j'ai appris à aller aux toilettes régulièrement.
Avec le plâtre il est impossible de se laver complètement. Moi qui suis quelqu'un d'assez maniaque sur ma propreté, ce n’était pas évident. Il fallait lave les cheveux et le bas séparément, et finir par laver ce qu’on pouvait autour du corset avec un gant de toilette.
Je crois que le plus difficile pour moi ça a été pour les vêtements. J'aime beaucoup la mode et ne plus pouvoir m'habiller comme je le voulais m'a été très difficile. J'ai dû refaire toute ma garde robe. Le plâtre n'était pas très discret et j'ai vraiment eu du mal à le camoufler, même avec des vêtements amples.
Mais avec le plâtre, j'ai gagné une dizaine de degrés.
J'ai vraiment pas de mal à montrer mon corset, il m'est déjà arrivé de l'enlever sur une place ultra fréquentée et j'en ai vraiment rien à faire du regard des gens, j'assume mon corset même si il ne me plaît pas. Après tout, on n’a jamais choisi d'être malade.
J'ai un ami avec lequel j'ai beaucoup parlé de mon corset, et il m'a dit un truc tout simple mais qui m'a fait plaisir : "Moi je ne trouve pas ça horrible, ça te donne quelque chose de différent et d'original, quelque chose en plus".
J'en arrive à un autre point que j'ai beaucoup appréhendé, c'est avec les garçons. Avec mes amies, il n'y a aucun problème je savais très bien que ça allait bien se passer, mais j'avais un peu plus peur pour ce qui est des petits copains. Parce-que dans une relation de couple il y a quand même une notion de désir même si il n'y a pas que ça, et j'avoue que j'avais vraiment peur de devenir vraiment indésirable.
Mais ça n'a pas été le cas, ça n'a rien changé du tout en fait.
Je sais que pour l'instant ce n’est pas très joyeux et je m'en excuse mais pour me remonter le moral j'avais cherché des points positifs et j'en ai trouvé quelques uns :
-La priorité à la cantine. Et oui, finit de faire la queue, j'ai le droit de passer par une porte VIP (héhé).
-Dispense d'EPS. Non pas que le sport soit une matière que je n'aime pas mais ça me plaisait bien de pouvoir quitter les cours à 3h le mardi et le vendredi.
Voilà, ça peut vous paraître un peu stupide de se réjouir de ça mais bon.
J'ai porté mon plâtre pendant deux mois et demi et depuis presque deux mois je porte un corset ! On essais a tout prix d’éviter l’opération. Moi ça a été un soulagement de pouvoir prendre ma douche, même si c'était le seul moment ou j'avais le droit d'enlever mon corset. On m'a dit 23h/24 jusqu'à la fin de ma croissance. Qui elle, a été évaluée pour durer encore environs 3 ans. Ce qui signifie que j’en ai encore pour toutes mes années lycées.
J'ai souvent des coups de blues quand je suis seule dans ma chambre, je regrette mon ancien corps. Mais surtout à cause de la souffrance. On m'a toujours dit que en général les scolioses n'étaient pas censées être douloureuses mais j'ai toujours beaucoup souffert et ça m'a souvent empêché de dormir. A l'heure actuelle j'en ai des très fortes au niveau du bassin à cause des mousses qu'ils m'ont mis, et surtout dans la position assise. Pour quelqu'un qui va en cours et qui passe beaucoup de temps derrière son pc, c'est sur que ce n’est pas l'idéal.
Depuis pas longtemps je suis confrontée à un nouveau problème que je redoutais : l'été. Qui était ma saison préférée...
Oui parce-que avec un t-shirt et un corset en plus, depuis qu'il a commencé à faire un peu chaud je croule sous la chaleur. Et pourtant chez moi on n’a pas encore dépassé les 23/24°, mais quand je rentre chez moi c'est une horreur, je sus vraiment beaucoup et je me dégoûte moi même. Si d'ailleurs vous avez des conseils? Parce-que pendant les vacances je pars 3 semaines en Espagne à Tarifa...
Voilà, mon histoire n’est pas finie et je croise les doigts pour éviter l’opération. J’espère que d’autres vont lire ceci, ça m’a fait du bien d’écrire tout ça et j’aimerai partager des choses avec vous.
Bisous à toutes ♥
Comme le stipule le règlement du forum, merci de ne pas utiliser l'écriture en italique. L’équipe des modérateurs.
Merci de respecter le règlement et de ne pas supprimer les modérations - L'équipe des modérateurs
J'ai consulté quelques unes de vos histoires, et j'ai donc décidé de me créer un compte et de raconter la mienne. Je suis désolée si c'est un peu long et trop détaillé, mais je crois que c'est la première fois que je raconte cette histoire en entier avec tous mes ressentis donc je voulais faire ça bien. J'ai présenté ça un peu comme un roman et j'ai mis beaucoup de temps à rédiger, donc j’espère que malgré la longueur ça restera assez agréable à lire.
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Voici un petit résumé de ma situation, pour ne pas lire inutilement mon histoire pour ceux qui chercheraient des réponses précises.
-Scoliose double majeure 47° en bas et 57° en haut dépistée depuis quelques mois.
-Port d'un plâtre pendant trois mois
-Actuellement en corset, a porter pendant encore 3ans
-Opération à venir si situation stagne ou qu'elle empire.
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Tout à commencé pour ma part l'été dernier quand j'ai commencé à avoir des douleurs atroces au dos qui m'empêchaient de dormir. Au début, je me disais que c'était rien et que ça aller passer.
Mais mon mal continuait et c'est seulement aux vacances d'Halloween que j'en ai parlé à ma mère. Elle m'a donc demandé de me pencher vers l'avant et m'a inspecté le dos, et c'est là qu'elle m'a dit que j'avais sûrement une scoliose et qu'il fallait prendre un rendez-vous chez le kinésithérapeute. Oui, au début on ne s'inquiétait pas trop, parce-que ma grande sœur avait eu une petite déviation qui s'était réglée en quelques séances. On est allées voir le médecin, qui nous a dit que vu la gravité de la situation, ce n'était pas à lui qu'il fallait s'adresser et il nous a dirigé vers des spécialistes de la scoliose.
Jusque là, je ne me rendais pas compte de ce qui allait m'arriver, j'ai un peu honte mais ça me plaisait qu'on s'occupe de moi, qu'on s'inquiète un peu. J'étais toujours dans la phase "ça n'arrive qu'aux autres, j'ai rien du tout, on s'inquiète pour rien".
Et bim. C'est tombé j'avais une double majeure comme ils m'ont dit, avec 47 en bas 57 degrés en haut. Etant asthmatique, j’avais déjà des problèmes de respiration mais la scoliose empirait les choses et appuyait sur mes poumons et mon cœur. On m'a dit qu'on allait devoir m'opérer, mais qu'on ne pouvait pas tout de suite et que j'allais d'abord devoir porter un plâtre. Sur le coup, j'ai franchement cru qu'on se fichait de moi et que c'était pour rigoler, pour moi le plâtre c'était ce qu'on porte un ou deux mois à la jambe ou au bras suite à une mauvaise chute, mais pas au corps bon dieu!
Mais non, c'était bien réel, deux mois plus tard je suis allée à l'hôpital pendant 2 jours, j'ai passé la nuit là haut. On m'a mise dès 9h dans une espèce de machine de torture dans une position vraiment des plus tordues (Et le mot va bien dans notre contexte!) et on m'a posé des bandes de plâtres partout. Je me souviens encore de la sensation, celle quand le plâtre sèche sur toi. Sur le coup je m'étais dit que je n'allais jamais m'y habituer et je me sentais commr étouffée, je n'arrivais plus à respirer. Le temps m'a paru long, très long. Mais je ne suis pas vraiment du genre à me plaindre et j’essayais de garder une humeur positive et de lancer des sourires pour ne pas inquiéter les médecins. A la fin ont m'a dit que c'était la première fois qu'ils voyaient quelqu'un qui ne se plaignait pas. On m'a souvent dit par la suite que j’étais courageuse, mais je ne le suis pas, c'est juste que je n'ai pas le choix.
Vers 13h30 je suis allée manger avec les autres enfants.
Quand tu entres dans la cantine, tu te dis vraiment que tu n'as vraiment pas le droit de te plaindre de ton sort. J'ai vu des gens vraiment malades, et je me suis dit que j'avais encore beaucoup de chance. C'est dur parce-que quand on voit ça on a l'impression qu'on a pas le droit d'avoir mal, encore moins devant eux. Et pourtant, je souffrais, et je pense que certaines qui ont connu le plâtre doivent me comprendre, les premières 24h sont insupportables. Mais j'y viens, le pire était la première nuit passée à l'hôpital. C'est là ou j'ai craqué. C'était impossible de dormir. J'ai beaucoup pleuré, j'avais hâte de rentrer chez moi.
Le lendemain j'ai encore passé le matin pour qu'ils fassent les finissions du plâtre. Je suis sortie un peu de l'hôpital déprimée, je l'avoue.
Et puis, après j'ai finit par m'y habituer, le plâtre sèche et j'ai commencé à marcher normalement, j'ai compris les limites de "mon nouveau corps" : c’est-à-dire, impossible de se baisser pour ramasser un stylo ou faire ses lacets. Donc il faut plier les genoux! Tout un sport.
Vous allez rire, mais j'ai dû élaborer une technique pour m'essuyer les fesses et j'ai passé au moins 5 bonnes minutes dans les toilettes pour trouver le bon angle les premières fois!
Sans oublier que le corset appuie sur la vessie, donc j'ai appris à aller aux toilettes régulièrement.
Avec le plâtre il est impossible de se laver complètement. Moi qui suis quelqu'un d'assez maniaque sur ma propreté, ce n’était pas évident. Il fallait lave les cheveux et le bas séparément, et finir par laver ce qu’on pouvait autour du corset avec un gant de toilette.
Je crois que le plus difficile pour moi ça a été pour les vêtements. J'aime beaucoup la mode et ne plus pouvoir m'habiller comme je le voulais m'a été très difficile. J'ai dû refaire toute ma garde robe. Le plâtre n'était pas très discret et j'ai vraiment eu du mal à le camoufler, même avec des vêtements amples.
Mais avec le plâtre, j'ai gagné une dizaine de degrés.
J'ai vraiment pas de mal à montrer mon corset, il m'est déjà arrivé de l'enlever sur une place ultra fréquentée et j'en ai vraiment rien à faire du regard des gens, j'assume mon corset même si il ne me plaît pas. Après tout, on n’a jamais choisi d'être malade.
J'ai un ami avec lequel j'ai beaucoup parlé de mon corset, et il m'a dit un truc tout simple mais qui m'a fait plaisir : "Moi je ne trouve pas ça horrible, ça te donne quelque chose de différent et d'original, quelque chose en plus".
J'en arrive à un autre point que j'ai beaucoup appréhendé, c'est avec les garçons. Avec mes amies, il n'y a aucun problème je savais très bien que ça allait bien se passer, mais j'avais un peu plus peur pour ce qui est des petits copains. Parce-que dans une relation de couple il y a quand même une notion de désir même si il n'y a pas que ça, et j'avoue que j'avais vraiment peur de devenir vraiment indésirable.
Mais ça n'a pas été le cas, ça n'a rien changé du tout en fait.
Je sais que pour l'instant ce n’est pas très joyeux et je m'en excuse mais pour me remonter le moral j'avais cherché des points positifs et j'en ai trouvé quelques uns :
-La priorité à la cantine. Et oui, finit de faire la queue, j'ai le droit de passer par une porte VIP (héhé).
-Dispense d'EPS. Non pas que le sport soit une matière que je n'aime pas mais ça me plaisait bien de pouvoir quitter les cours à 3h le mardi et le vendredi.
Voilà, ça peut vous paraître un peu stupide de se réjouir de ça mais bon.
J'ai porté mon plâtre pendant deux mois et demi et depuis presque deux mois je porte un corset ! On essais a tout prix d’éviter l’opération. Moi ça a été un soulagement de pouvoir prendre ma douche, même si c'était le seul moment ou j'avais le droit d'enlever mon corset. On m'a dit 23h/24 jusqu'à la fin de ma croissance. Qui elle, a été évaluée pour durer encore environs 3 ans. Ce qui signifie que j’en ai encore pour toutes mes années lycées.
J'ai souvent des coups de blues quand je suis seule dans ma chambre, je regrette mon ancien corps. Mais surtout à cause de la souffrance. On m'a toujours dit que en général les scolioses n'étaient pas censées être douloureuses mais j'ai toujours beaucoup souffert et ça m'a souvent empêché de dormir. A l'heure actuelle j'en ai des très fortes au niveau du bassin à cause des mousses qu'ils m'ont mis, et surtout dans la position assise. Pour quelqu'un qui va en cours et qui passe beaucoup de temps derrière son pc, c'est sur que ce n’est pas l'idéal.
Depuis pas longtemps je suis confrontée à un nouveau problème que je redoutais : l'été. Qui était ma saison préférée...
Oui parce-que avec un t-shirt et un corset en plus, depuis qu'il a commencé à faire un peu chaud je croule sous la chaleur. Et pourtant chez moi on n’a pas encore dépassé les 23/24°, mais quand je rentre chez moi c'est une horreur, je sus vraiment beaucoup et je me dégoûte moi même. Si d'ailleurs vous avez des conseils? Parce-que pendant les vacances je pars 3 semaines en Espagne à Tarifa...
Voilà, mon histoire n’est pas finie et je croise les doigts pour éviter l’opération. J’espère que d’autres vont lire ceci, ça m’a fait du bien d’écrire tout ça et j’aimerai partager des choses avec vous.
Bisous à toutes ♥
Comme le stipule le règlement du forum, merci de ne pas utiliser l'écriture en italique. L’équipe des modérateurs.
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Modifié en dernier par Washmashine le lun. juin 25, 2012 8:17 pm, modifié 2 fois.