Salut
Tu sais, je fais le malin, mais je n'en menais pas large. La matinée de l'opération, j'ai préféré travailler, pour éviter d'y penser de trop, et de tourner comme une toupie devant la porte des soins intensifs en attendant l'arrivée de Vic !
Ensuite, en soins intensifs, j'y allais les après-midi, mais pas trop longtemps, même si le personnel était charmant et nous laissait carte blanche.
Une fois resdescendue dans sa chambre, mon épouse y passait très tôt le matin, et moi l'après-midi (j'étais à mi-temps). Mias toujours sur des créneaux fréquents, mais pas trop longs. Nous préférions accentuer la fréquence mais sur des temps avec elle relativement cours (guère plus que l'heure). Car Vic' dormait finalement beaucoup, et nous avions l'impression qu'elle se forçait a rester éveillée lorsque nous étions là.
Bein entendu, on s'adapte à tâtons selon nos propres ressentis, avec toujours en perspective le soucis de faire ce qui nous semble le mieux.
Bientôt toutes ces questions seront derrière toi, une fois qu'on est devant le fait accompli, on agit, tout simplement, sans se poser des milliards de questions. J'ai vécu cette période presque comme une libération, on était dans le concret (parfois un peu rude) mais au moins on agissait...
Courage à toi et Aurélie ! Je penserai très fort à vous lundi !
