- jeu. sept. 03, 2015 2:16 pm
#282726
Tous les jours, après ma pause déjeuner, je prends cinq minutes avant de reprendre mon travail pour prendre connaissance des informations via Internet. Je lis les nouvelles de ci, de là. Sans but précis, juste pour apprendre et savoir, rester au contact de l'actualité, de l'humanité. Loin des réseaux sociaux qui nous abrutissent lentement.
Et puis, aujourd'hui, je suis tombé sur LA photo, la fameuse, comme beaucoup d'entre nous. Celle de ce petit garçon, réfugié naufragé, échoué sur une plage face contre Terre. Rejeté même par la mer...
Cette photo fera sans nul doute partie des photos du siècle, de celles que verront nos enfants un jour plus tard dans leur vie au gré des manuels scolaires. Comment l'éviter, comment l'oublier dorénavant ? Elle est tellement dure qu'elle en a une force à part, différente, éternelle. Chacun s'emparera dorénavant du débat pour s'empresser de nous dire qu'il fallait ou ne fallait pas la montrer. Peu importe. Aujourd'hui, notre monde appartient aux polémistes, aux discutailleurs de tout bord qui ne font que parler, échanger au lieu de donner d'eux-même, au lieu de proposer des solutions et se battre pour les autres.
Cette photo, je l'ai regardé et je ne l'oublierais jamais. Un de nos politiciens a dit un jour que la France ne pouvait pas accueillir toute la misère du monde. Chacun en est bien conscient. Mais aussi nous n'avons pas le droit de rester inertes, les mains devant les yeux pour éviter de savoir, d'agir, de nous mouiller. Mais que faire ?
Essayer de prendre à la source le problème peut-être, aider, dur à savoir. Nous ne sommes en définitive que des hommes. Il semblerait qu'il y ait au-dessus de nous des élites, grassement rémunérés, plus aptes que nous à diriger. Alors, je ne formulerais qu'un seul souhait, proposez, décidez, aidez. Faites-nous croire en vous autant que nous y avons cru en votant que ce soit à Gauche, à Droite ou ailleurs.
Et surtout, surtout, faites en sorte qu'il n'y ait plus jamais d'autre petit naufragé de 4 ans échoué dans nos nuits...
Et puis, aujourd'hui, je suis tombé sur LA photo, la fameuse, comme beaucoup d'entre nous. Celle de ce petit garçon, réfugié naufragé, échoué sur une plage face contre Terre. Rejeté même par la mer...
Cette photo fera sans nul doute partie des photos du siècle, de celles que verront nos enfants un jour plus tard dans leur vie au gré des manuels scolaires. Comment l'éviter, comment l'oublier dorénavant ? Elle est tellement dure qu'elle en a une force à part, différente, éternelle. Chacun s'emparera dorénavant du débat pour s'empresser de nous dire qu'il fallait ou ne fallait pas la montrer. Peu importe. Aujourd'hui, notre monde appartient aux polémistes, aux discutailleurs de tout bord qui ne font que parler, échanger au lieu de donner d'eux-même, au lieu de proposer des solutions et se battre pour les autres.
Cette photo, je l'ai regardé et je ne l'oublierais jamais. Un de nos politiciens a dit un jour que la France ne pouvait pas accueillir toute la misère du monde. Chacun en est bien conscient. Mais aussi nous n'avons pas le droit de rester inertes, les mains devant les yeux pour éviter de savoir, d'agir, de nous mouiller. Mais que faire ?
Essayer de prendre à la source le problème peut-être, aider, dur à savoir. Nous ne sommes en définitive que des hommes. Il semblerait qu'il y ait au-dessus de nous des élites, grassement rémunérés, plus aptes que nous à diriger. Alors, je ne formulerais qu'un seul souhait, proposez, décidez, aidez. Faites-nous croire en vous autant que nous y avons cru en votant que ce soit à Gauche, à Droite ou ailleurs.
Et surtout, surtout, faites en sorte qu'il n'y ait plus jamais d'autre petit naufragé de 4 ans échoué dans nos nuits...


et l'on pense à tous ces gens qui prennent la fuite et perdent la vie pour un grand nombre... j'en suis particulièrement sensible car ma famille, ma maman a connu un tel exode durant la 2è guerre. celui-ci n'a pas dépassé les frontières à l'époque et les gens sont rentrés chez eux après. mais là, il est loin d'imaginer ces foules qui sont forcés de quitter leur pays, un déracinement complet et que personne ne bouge! nous n'avons pas de solution, ni le pouvoir à notre niveau; que faire? les "grands" eux, doivent faire bouger les choses. comme toi Franck, je dirais surement à la source, mais en attendant il y a des gens qui vivent dans la détresse, la misère, en ayant tout perdu et tout cela au prix de leur vie. une vraie catastrophe mondiale!