- lun. oct. 29, 2012 2:08 pm
#243533
bonjour
voilas je me décide enfin, après avoir écrit l'histoire de ma fille, et d'avoir parcouru un peu plus chaque jours le forum.
A mes 14 ans, presque 15 ans, je suis hospitaliser, pour l'apparition de plaque sur le ventre, et de grosse douleurs au ventre, qui ont disparues 2 jours après, probablement une indigestion
A ce moment là tout commence, je me souvient de la venue d'un chirurgien orthopédique qui me regarde sur tout les angles, me fait arrondir le dos etc..., a la suite de cet examen il contacte mes parents, et verdict double scoliose de 35 degré en haut je ne me souvient plus en bas, il demande a me revoir 2 mois après pour savoir l'évolution, elle a pris 2 degré en 2 mois, et forme ce qu'ils appellent, le bec de perroquet, et s’approchant de la moelle épinière va finir par me la couper et me paralysera vers mes 25 ans, alors il prend la décision de m’opérer 2 mois après, se fut le 17 novembre 1987, j'avais alors mes 15 ans, il me dit que je serait sorti de l’hôpital 15 jours après. La décision fut si rapide que nous avons pas eu le temps, de prélever mon propre sang pour la transfusion
l’opération faite, je suis aliter 3 jours, au bout des ces 3 jours ils tentent de m’assoir, d'abord sur le bord du lit et maintenue, et quelque jours après ils m'installe dans un fauteuil heureusement, ma mère était la, car je suis tomber dans les pommes.
au bout d'un cours moment ils découvrent une cloques sur la cicatrice, elle perce et la commence l'écoulement d'une infection, ils ont tenter de la soigner par des mèches, mais rien y faisait, alors le chirurgien décide de me ré ouvrir, pour tout nettoyer y compris les tiges, ce fut le 17 décembre 1987 , et la je me souvient du réveille ou le produit utiliser, me brulais violemment, me voilas avec 4 drain
Et voilas de nouveau aliter, pendant 15 jours, on arrive a noël , il tente a nouveau de me lever, au bout d'un mois, et la ma jambe devient toute noir, ma mère dit c'est une phlébite, le chirurgien lui répond ce n'est pas possible a 15 ans, et c'est repartit pour un tas d'examens, scanner, il me tordais la jambe dans tous les sens, me faisant mal, et voilas qu'ils veulent me faire une ponction lombaire, alors l'idée qu'ils puissent me piquer dans la cicatrice me paraissait pas possible, j'ai tellement bouger dans tout les sens, qu'il ne me l'ont pas faite, et tout ça pour entendre dire c'est une phlébite, donc début des injection, tout cela nous pousse a Noël, ils m'autorise une brève sorti pour le jours de l'an, mais je devais rester aliter car ma phlébite n'était pas soigner, et je ne pouvait toujours pas déplier ma jambe, et j'avais de plus toujours les drains.
Deux jours après je retourne a l’hôpital, et les choses ce sont mise en places en à peu prêt 3 semaines, j'ai pu enfin me remettre debout, et remarcher, donc bonne nouvelle je rentre enfin chez moi.
La je commence le port du corset, que j'ai très bien accepter, puisqu’après une opération c'est rassurant de l'avoir, je devait le mettre jour et nuit.
ET voilas, que très vite un matin je me lève et je découvre le corset recouvert de cette infection, donc me voilas repartit a l’hôpital, un jour sur deux pendant presque, un an , pour me faire des mèches, jusqu'au 18 novembre 1988, date de la nouvelle opération, pour de nouveau tenter le nettoyage des tiges, je ne vous ré-explique pas les détails ce fut exactement les mêmes que la précédente opération, me voilas repartit pour des mèches jusqu'au 30 mars 1989, ou ma mère en a eu marre, et décide de voir un autre spécialiste, et la verdict, ablation du matériel par le même chirurgien pas le choix, ce qui a été effectuer le 29 aout 1989, et cette fois je suis bien rester que 15 jours a l’hôpital, on a découvert a la suite que je fait partit des personnes qui as contracter l’hépatite B, lors de la transfusion.
Depuis il n'y a pas un jour ou j'ai pas mal au dos, je ne peu pas faire dans ma maison tout ce que j'aimerais, je suis ATSEM, j'aime mon métier, mais lors-qu’arrive les grand ménage, j'en pleurerais presque à l'avance.
J'ai quand même eu 4 beau enfants, dont j'ai écrit dans grossesse et scoliose sans péridural.
Alors vous comprendrez que lorsque j'ai appris la scoliose de ma fille le ciel, mais tombé sur la tête, je remonte, il faut que je soit forte pour elle
désoler c'est un peu long mais c'est une partit de ma vie
merci
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voilas je me décide enfin, après avoir écrit l'histoire de ma fille, et d'avoir parcouru un peu plus chaque jours le forum.
A mes 14 ans, presque 15 ans, je suis hospitaliser, pour l'apparition de plaque sur le ventre, et de grosse douleurs au ventre, qui ont disparues 2 jours après, probablement une indigestion
A ce moment là tout commence, je me souvient de la venue d'un chirurgien orthopédique qui me regarde sur tout les angles, me fait arrondir le dos etc..., a la suite de cet examen il contacte mes parents, et verdict double scoliose de 35 degré en haut je ne me souvient plus en bas, il demande a me revoir 2 mois après pour savoir l'évolution, elle a pris 2 degré en 2 mois, et forme ce qu'ils appellent, le bec de perroquet, et s’approchant de la moelle épinière va finir par me la couper et me paralysera vers mes 25 ans, alors il prend la décision de m’opérer 2 mois après, se fut le 17 novembre 1987, j'avais alors mes 15 ans, il me dit que je serait sorti de l’hôpital 15 jours après. La décision fut si rapide que nous avons pas eu le temps, de prélever mon propre sang pour la transfusion
l’opération faite, je suis aliter 3 jours, au bout des ces 3 jours ils tentent de m’assoir, d'abord sur le bord du lit et maintenue, et quelque jours après ils m'installe dans un fauteuil heureusement, ma mère était la, car je suis tomber dans les pommes.
au bout d'un cours moment ils découvrent une cloques sur la cicatrice, elle perce et la commence l'écoulement d'une infection, ils ont tenter de la soigner par des mèches, mais rien y faisait, alors le chirurgien décide de me ré ouvrir, pour tout nettoyer y compris les tiges, ce fut le 17 décembre 1987 , et la je me souvient du réveille ou le produit utiliser, me brulais violemment, me voilas avec 4 drain
Et voilas de nouveau aliter, pendant 15 jours, on arrive a noël , il tente a nouveau de me lever, au bout d'un mois, et la ma jambe devient toute noir, ma mère dit c'est une phlébite, le chirurgien lui répond ce n'est pas possible a 15 ans, et c'est repartit pour un tas d'examens, scanner, il me tordais la jambe dans tous les sens, me faisant mal, et voilas qu'ils veulent me faire une ponction lombaire, alors l'idée qu'ils puissent me piquer dans la cicatrice me paraissait pas possible, j'ai tellement bouger dans tout les sens, qu'il ne me l'ont pas faite, et tout ça pour entendre dire c'est une phlébite, donc début des injection, tout cela nous pousse a Noël, ils m'autorise une brève sorti pour le jours de l'an, mais je devais rester aliter car ma phlébite n'était pas soigner, et je ne pouvait toujours pas déplier ma jambe, et j'avais de plus toujours les drains.
Deux jours après je retourne a l’hôpital, et les choses ce sont mise en places en à peu prêt 3 semaines, j'ai pu enfin me remettre debout, et remarcher, donc bonne nouvelle je rentre enfin chez moi.
La je commence le port du corset, que j'ai très bien accepter, puisqu’après une opération c'est rassurant de l'avoir, je devait le mettre jour et nuit.
ET voilas, que très vite un matin je me lève et je découvre le corset recouvert de cette infection, donc me voilas repartit a l’hôpital, un jour sur deux pendant presque, un an , pour me faire des mèches, jusqu'au 18 novembre 1988, date de la nouvelle opération, pour de nouveau tenter le nettoyage des tiges, je ne vous ré-explique pas les détails ce fut exactement les mêmes que la précédente opération, me voilas repartit pour des mèches jusqu'au 30 mars 1989, ou ma mère en a eu marre, et décide de voir un autre spécialiste, et la verdict, ablation du matériel par le même chirurgien pas le choix, ce qui a été effectuer le 29 aout 1989, et cette fois je suis bien rester que 15 jours a l’hôpital, on a découvert a la suite que je fait partit des personnes qui as contracter l’hépatite B, lors de la transfusion.
Depuis il n'y a pas un jour ou j'ai pas mal au dos, je ne peu pas faire dans ma maison tout ce que j'aimerais, je suis ATSEM, j'aime mon métier, mais lors-qu’arrive les grand ménage, j'en pleurerais presque à l'avance.
J'ai quand même eu 4 beau enfants, dont j'ai écrit dans grossesse et scoliose sans péridural.
Alors vous comprendrez que lorsque j'ai appris la scoliose de ma fille le ciel, mais tombé sur la tête, je remonte, il faut que je soit forte pour elle
désoler c'est un peu long mais c'est une partit de ma vie
merci
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Grillonne,
