- mar. déc. 15, 2009 10:17 am
#157159
Bonjour à tous,
Je suis maman d'une jeune fille de 19 ans dont la scoliose a été diagnostiquée tardivement, en quasiment fin de croissance, lors d'une consultation chez un généraliste. Jouant beaucoup de violon, on assimilait sa mauvaise position à un défaut de posture qui se corrigerait facilement pendant ses études de musique.
Le spécialiste consulté à l'époque n'a plus jugé utile le port d'un corset, trop tardif, et n'a recommandé que la pratique d'un sport. (indéterminé)... et des visites de contrôle dans les années a venir.
Cela fait au moins 2 ou 3 ans... le stress est tellement intense à l'évocation de ce sujet, l'angoisse si forte, la frayeur des souffrances à venir liées à une éventuelle intervention chirurgicale, que malgré la culpabilité ressentie depuis le premier jour, nous sommes paralysés .... et nous rejetons lâchement et régulièrement le sujet au lendemain. Jusqu'à aujourd'hui, je sens bien qu'il faut que je rassemble tout mon courage qui me fait défaut depuis si longtemps, je n'ai jamais pu me confier. Les premières personnes proches informées m'ayant immédiatement tenues responsables (comment se faisait il qu'une mère attentive comme je l'étais avec mes enfants avait pu ignorer et laisser se développer un tel handicap sans rien faire ?)
Et du coup, c'est depuis que je ne fais plus rien. (L'ironie du sort veut que justement je m'étais battue durant toute la scolarité de mes enfants au collège, dans les associations de parents d'élèves, pour que les cartables, trop tourds à porter soient revus à la baisse, et que des casiers soient prévus dans ce but... )
L'énergie que je pouvais développer alors que le problème n'étais qu'hypothétique, n'existe plus pour combattre ce qui est devenue une réalité ! Un rendez vous l'an passé, pris 2 mois à l'avance est passé à la trappe.
Aidez moi svp a me secouer et à aider ma fille, qui, forcement insouciante à son jeune âge ne veut pas en entendre parler.
Je suis maman d'une jeune fille de 19 ans dont la scoliose a été diagnostiquée tardivement, en quasiment fin de croissance, lors d'une consultation chez un généraliste. Jouant beaucoup de violon, on assimilait sa mauvaise position à un défaut de posture qui se corrigerait facilement pendant ses études de musique.
Le spécialiste consulté à l'époque n'a plus jugé utile le port d'un corset, trop tardif, et n'a recommandé que la pratique d'un sport. (indéterminé)... et des visites de contrôle dans les années a venir.
Cela fait au moins 2 ou 3 ans... le stress est tellement intense à l'évocation de ce sujet, l'angoisse si forte, la frayeur des souffrances à venir liées à une éventuelle intervention chirurgicale, que malgré la culpabilité ressentie depuis le premier jour, nous sommes paralysés .... et nous rejetons lâchement et régulièrement le sujet au lendemain. Jusqu'à aujourd'hui, je sens bien qu'il faut que je rassemble tout mon courage qui me fait défaut depuis si longtemps, je n'ai jamais pu me confier. Les premières personnes proches informées m'ayant immédiatement tenues responsables (comment se faisait il qu'une mère attentive comme je l'étais avec mes enfants avait pu ignorer et laisser se développer un tel handicap sans rien faire ?)
Et du coup, c'est depuis que je ne fais plus rien. (L'ironie du sort veut que justement je m'étais battue durant toute la scolarité de mes enfants au collège, dans les associations de parents d'élèves, pour que les cartables, trop tourds à porter soient revus à la baisse, et que des casiers soient prévus dans ce but... )
L'énergie que je pouvais développer alors que le problème n'étais qu'hypothétique, n'existe plus pour combattre ce qui est devenue une réalité ! Un rendez vous l'an passé, pris 2 mois à l'avance est passé à la trappe.
Aidez moi svp a me secouer et à aider ma fille, qui, forcement insouciante à son jeune âge ne veut pas en entendre parler.